4 août 1992

Ce Soir abolition des privilèges

Cher Nicolas

Nous avons espéré ta venue pour te passer le flambeau et les clés de la maison ! J'ai laissé l'eau et l'électricité branchée.

S'il n'y a plus d'eau chaude à la cuisine, c'est le fusible qui a sauté = il y en a dans le tiroir du buffet de la cuisine (à droite) -> le fusible a changé = boîte carrée sous le chauffe eau à gauche. Dévisser la partie centrale

Draps et couvertures dans l'armoire de ma chambre. La carabine se trouve sur la cheminée de ma chambre. Vous avez un magnifique barbecue aménagé par Louis derrière le tilleul. Le Bois qui est dans la cheminée de la cuisine est VERT.Je l'ai coupé en dégageant les Bois._

S'il fait beau, aérer au maximum la maison en ouvrant toutes les ouvertures.

Je n'ai pas eu le temps d'Apporter les vélos à LACAUNE. C'est dommage (Peut-être pourrais-tu le faire avec Esther et son 4X4).

Je te souhaite à toi et à tes amis un excellent séjour. Comme fut le notre : Beau, chaud et actif = Voir Buis et Jardin Côté Esther.

PS : Il y a un volet au 2ième à ne pas ouvrir.Danger , j'ai mis une annonce.

Tu sais tu vas crever Margherite

D'une tendinite

A l'oeil droit

Je sais tu cour à mon trépas ma petite

Tu pourrais tomber

Mais une mort sans mérite

vaut bien ta jambe cassée

Que tu traînes Margherite

Souris encore derrière le puits

Où je passe toutes tes nuits

Oublis ton arthrite

Comme la fleur pousse vite

Mélange les fumées

Tu pourrais t'enrhumer

et une méningite

Ca n'arrange rien Margherite

Il faudrait que tu croques encore des frites

Que tes dents scintillent devant moi

Car tu sais ça m'évite

Quand ton sourire c'est un poids

J'aimerais t'embrasser

Car je sais les langues enlacées

N'ont aucun goût

Je préférais ton cou

Tu sais tu vas crever Margherite

le soleil passe vite

J'ai fait tomber le cendrier

Alors je l'ai remercié

la pomme de terre

Refrain Il faut être poli

Avec les produits agricoles

il faut être gentils

et faire vibrer le sol

J'ai rencontré une tomate

elle avait la joue jouflée

comme une patate

Refrain Il faut être poli

Avec les produits agricoles

il faut être gentils

et faire vibrer le sol

Je suis tombé sur une courgette

j'ai glissé sur sa tête

alors j'ai dit pardon c'était Yvette

Refrain Il faut être poli

Avec les produits agricoles

il faut être gentils

et faire vibrer le sol

Je n'ai jamais su dire les mots

Mais j'ai trouvé dans les entrailles

Ils étaient si nombreux

il manquait juste des verbes

prisonniers de ce fardeau

il est si facile d'être amoureux

Car l'homme amoureux n'a jamais pu trouver les mots pour séduire la femme qu'il aime. Au contraire plus il lui parlait, quand il sait, plus il se montrait à ses yeux inintéressant, il n'arriva pas à se comporter avec elle comme il se comporte avec les autres personnes et à un degrés extérieurs.

Maintenant elle est loin de lui, aimée par un autre homme et lui regrette de n'avoir jamais pu lui parler. Il sait qu'il l'a perdue, il est fatigué, il est déjà mort.

Et lors de la création, eve

par milliers se multiplie

et de loin elle dit :

il n'y a plus de dieu

Mais qu'est ce que le feu

qui nous apprendra nos malheurs

qui vaincra notre douleur

et quand les hommes s'entre-tuent

la hache n'est que "fut"

Au temps des bombes inertes

les duretés de la vie faites

le temps est venu de la paix

les guerres sont venues du lait

le ciel est le tonnerre

les temps ceux de la terre

et Adam debout

regarde les deux bouts

et divulgue les pensées

à tous ces insensés

fils, mère putride

père misogyne bouffé de ride

et de loin contemplant

les cieux et rifts dérivants

quand bien même les chines

et rats de morts, le bourreau maintient

les hommes à son joug

les femmes et ses poux

les dieux infâmes

bouffent le coeur des femmes

et de loin on voit apparaître

les divins enfants naître

close your eyes

Remember the time

Je te dis grosse poubelle

Pour te dire que tu es belle

je n'ai pas dit bien

jamais mieux dit rien

C'est la chanson de la joie

je la chante rien que pour toi

C'est la chanson de la joie

je la chante malgré moi

Quand elle me souris je te vois

Quand j'y pense je te vois

Quand elle surgis je te vois

je te crois

Quand je bois du côte du Rhône

J'ai un ventre qui raisonne

Old college, grand privilège

Caractère robuste et danse tu me rend fou

importé par le coeur tu m'enivres de bonheur

A consommer dans trois ans, comme un enfant

bon usage, apéritif fromage, noise

tout ce qui nous donne la joie

température de service 18° Celcius

Cache tes vices quand tu me suces

Désirant mieux connaître nos consommateurs,

Aux Dieux ! Ne déchire nos coeurs

Afin de mieux les satisfaire

Et les services comme nos propres frères

N'hésitez pas a nous faire par de vos remarques

et questions concernant le vin

il serait trop tard demain car

Méditation sur le côte du Tarn

I

1ère fillette : (chanson) Un matin où je me levais

J'aperçut cet homme (assis) dans le pré

2ème fillette : (chanson) Mais qui est cet homme

dont tu me parles là

En mangeant une pomme

En souriant comme ça ?

1ère fillette : (chanson) Ah si savais

Si je disais tout

c'que j'ai vu

En regardant un seul homme

II

1er petit garçon : ti la li la li la la

j'ai rencontré annabella

2ème petit garçon : Il l'a vu toute nue

Et j'ai observé son cul

3ème petit garçon : Il a tout plein de poils

Quand je vois ça je me régale

1er petit garçon }

2ème petit garçon }

3ème petit garçon } ti la li la li la la

Nous avons vu annabella (3X)

ti la li la li la la

Nous l' avons vu annabella (3X)

III

(intro au luth)

Parlante Récitante : plus tard ...

Tous en coeur : Il est plus tard

The End

Cassoulet d'été

ou Vacances dans le Tarn

ou Séjour chez le châtelain en sa compagnie

oeuvre en trois actes

Chapitre 1 : La route du cassoulet.

Gare Saint-Charles 8 h 45. Jean Philippe; Eric.

Jean Philippe

le petit lutin : c'est si simple d'être soi même quand on est pas comme les autres.

Cimes humanistes, élites historiques

Tu te demandes: l'hiver algorique

Vivez commandos insatisfaits

prudes amours inlassablement défait.

Veille, homme cruel et mortel

regarde les étoiles, mystérieuses blasphèmes,

allongées sur le dos, accroupies sous la coupelle

, du ciel, alarmé par la création, vif dilemme.

Arrêtez ces gens qui le long des boulevards

marchent sans poubelles, sans joies, sans dards

Pénétrez dans les âmes, infatigables néants,

Divinement prise par les fusils géants.

Loin des tristesses éternelles, des périples amoureux,

lancez les tourterelles,

divines représentantes de dieu.

Ô toi qui n'est pas innocent,

regarde toi, rare représentation

et sans affaire de grand sang,

jette les flammes de l'enfer : aliénation.

Le chien rampant en ces lieux,

ne devinera jamais toutes les prières,

qui, divines douleurs des mères,

s'emporte loin dans celles des cieux.

Acides torrides

enlevez moi le ce coeur,

qui loin des perfides

m'arrache ma douleur.

demo1 + demo2 SiGniFianT Grande_ouverture inutile

! Au Lait !

Dans l'arène tu m'emmènes

A la corrida du déjeuner

Cette purée est un taureau madrilène

ton coup de grâce m'a atterré

Dans ce tourment de fumée

pas de poussière ni de vapeur

Le lait a vraiment tourné

le torero crie son malheur

Aïea Aïea Aïea Aïea Aïea Aïea Aïea Aïea Aïea Aïea Aïea Aïea Aïea Aïea Aïea Aïea Aïea Aïea Aïea Aïea Aïea Aïea Aïea Aïea Aïea Aïea Aïea Aïea Aïea Aïea Aïea Aïea Aïea Aïea Aïea Aïea Aïea Aïea Aïea Aïea

Et le Soir quand il s'endort

La torera qui pleure encor

Car Au lait pour se venger

Pour exorciser tous ces regrets

En se jetant dans la purée

Moi j'ai le blues du maïs

Et quand je vois Naïs

C'est mon coeur qui s'épice

Car mon amour est sacrifice

alors là je me hisse (choubidou bidou OUA)

au fin fond de sa malice

Je fais tous ces caprices

Je craque pou tous ses vices

Et je ne supporterais pas

que tu me fasses encore ça

Et même si tu ne me crois pas

Je peux le faire , les faits sont là

J'ai le blues du maïs

glisse

saucisse

Moi j'ai le blues du maïs

Et quand je vois Naïs

C'est mon coeur qui s'épice

Car mon amour est sacrifice

Refrain : J'ai le blues du maïs la la la choubibidou oua

alors là je me hisse

au fin fond de sa malice

Je fais tous ces caprices

Je craque pou tous ses vices

Refrain : J'ai le blues du maïs la la la choubibidou oua

Et je ne supporterais pas

que tu me fasses encore ça

Et même si tu ne me crois pas

Je peux le faire , les faits sont là

Refrain : J'ai le blues du maïs la la la choubibidou oua

Hymnes naturels aux césures incassables

Rites cruels aux blessures incommensurables

Tous les heurts de ma belle, souffrances admirables

Sucent la cime de mon horizon de sable

Danse flamme de vie qui brûle mon coeur

Gît au fond des abîmes de ma douleur

Saoul de cette folie, pensées d'extases et d'odeurs

Se pose la cendre de mes envies couleur

Je suis comme les blés, vite levés, vite fauchés

De la nuit des cadavres, étant contrarié

Je souris au soleil qui brûle nos veines

Asphaltées par tous tes désirs hantés de haine

Eteint toi souffle qui soulève la morte

Froid et blême mon coeur ne se fatigue plus

Closes, glauques et gourres mes entrailles n'ont plus de portes

Le cours de l'amour te condamne , toi, l'exclus

Brûle Feu

De joie mon dieu

Comme je t'aime mieux

Voies les cieux

Que t'illumine

Avec tes mains géantes

La lune amante

Belle, illumine

Retient le

le tas de fumée

Qui pique les yeux

Ma belle aimée

Voix je t'aime

Si tu ne croies

Brûle existence

avec toi et moi.

Fraissinet Jérome

17 pays des schtroumpfs

15007 Klopp City strings

Lavalette 11.08.92

Cher Monsieur Jérome

Je passe d'excellentes vacances. J'espère que toi aussi. Je suis avec des espèces de gens qui tuent des chenilles avec la hache. Qui crèvent les pneus des charrettes, qui font des tas de trucs à l'aide de guitare, vélo, voir Blutch (numéro 15 hors série). Il fait soleil. A bientôt.

Nicolas_

Nicolas Giboskoï

Dans l'univers valettien

999111 C'est pas là

Mon cher Nicolas

Je crains d'avoir été un peu dur avec toi, mais saches, GRAND FOU, que même brave tu parcours coeur et âmes. Ici, il y des écrevisses, des caliméros jésus, des pédales sans vélo, des nuits sans jours et des flippers à quarante. Je fais du vélo et les souris, parcourent, alors que le feu illumine cendre et bûche tandis qu'un fada s'entraîne avec Jeanne d'Arc. J'ai pas tout compris cette histoire de porte et les vaches en l'air, les quatre pattes en l'air, les maïs polistine, sopaline.

Ton jéjé qui t'embrasse avec les 2 mains

fraissinet Jérome

Flamme qui brûle mon coeur

Ton odeur pénètre mon âme

j'entend une musique

dans mon corps en profondeur

Es importante de comer

Es posible de gagnar denero

es urgento de telefono

es necesario de salir

es fàcil de saber

Alcool, apolinaires délices Alcool

poèmes infatigables malices Couleur de formole

nectars absorbables Je te trouve usante

sucres sacharables Ta cendre amusante

Vertiges inhabituels Vertige

où est tu ma belle Soulage l'effigie

muse fastidieuse Des vomies qu'aligne

femme luxurieuse Les mortelles souris malignes

liquide joyeux Les yeux regardent à l'envers

regarde moi à l'envers Comme un monde peut être bleu

Avec toi je suis heureux Lorsque la Belle au vers

et je plane dans mes vers Le dit amoureux

Arc en ciels en gerbe Douleurs lointaines

vomis profonds s'approche mignonne

mes seuls verbes Gerbe à nouveau

viennent et ne sont dons Vins trouver cerveaux.

La souffrance suinte sous ce silence

l'envie voile la vérité

l'âme et le coeur en transe

Prient pour approcher l'éternité

Le sexe, la vie , la mort

ne sont que tortures

et le bas au dehors

les amours éteintes trahissent la nature

les fillettes cueillent des genêts

qui meurent soudain étonnés

et quittent ce monde sans hurler

femmes, le jeu a recommencé

nous captivent et une fois récompensée

nous sommes tous des fleurs coupées

Un homme qui va trop haut

Tombe Moins bas

Lorsque la lampe là

Sillonne autour du feu chaud

Chercher LA LAMPE

Série 'Juan Fillipo'

Quand je tiens tes lèvres

Et que tu m'accompagnes

Sans être là dans les montagnes

Je Te cours comme un lièvre

S'il n'est que de rêve

Un paysage partagé

Laisse Toi Que crève

Les chiens élancés

Menu Souvenir

Et Brûle tes rires

Tu pars au Nord

Je pars au Sud

Et je vois encore dorer ton corps

Dans tes horizons qui me sont donnés

Va t'en

Avec le vent

Comme une omelette je mange

Tu es toujours caché dans ma grange

Suis le

Suis le

Suis le

Suis le l'oiseau

L'oiseau comme toi

Beau et noir

Qui s'éloigne

Des montagnes

Où je suis

Dernière vie

Cueille

Quand je me recueille

Tu l'as suivi

l'oiseau comme toi

Que je vis

Beau et noir

Bois mes veines

Comme tu avais envie

Mais tu es reine

Et tu m'as pas suivi

Meurs le rêve

Où je crève

Dans tes bras

En disant gilda

Où l'oiseau s'envole

Et la fleur le suit

Essaies d'être drôle

Quand t'as plus de vie

La vie dans moi

comme toi quand tu ris

Je vis je te suis

Dans l'envol

Mardi 11 Août 92 1 h 57

LAvalette.ECriture à deux mains

Sujet libre

Sur la poutre

Longue et gigantesque porte qui pique les petits moustiques.

Sous la poutre

Trois bouteilleuh Qui dorment bouillent Sous la poutreuh Pastis Bleu

A coté de la poutre

A travers la fenêtre

Il est coincé entre les hameaux le messie des bateaux. Le marin Qui navigue dans les ombres se noie dans les branches la sève fatigue l'humanité qui surgit en Simbad.

Une main est morte

Sujet Bleu

Quelle tristesse quand je l'attend la misère au creux de mes mains. Fini les lendemains ou plein les moineaux dans l'arbre. il n'est que corbeau.

Six camarades partent à la campagne ils achètent 6 kilos de PQ,25 grammes de pâté, 18 saucisses sèches, 33 Kilos de pain.

Combien chacun doit-il payer en sachant que Paul a payé 25% des produits comestibles, Paulette 34F, Jeannine le 1/4 de ce qu'a payé Jean, Pierre n'a rien payé et lucette encore moins.

200 :car

200 : caisse commune

100 : clopes, clopinettes

300 : courses lundi Nuit Blanche

On arrive : 200 F

on course : 620 dont 300 alcool

couse (2) : 300 dont 100 alcool

"Oh, regardez la forme de la saucisse."

"Calimero ? C'est le petit Jésus."

"Quand j'étais petite, j'étais excitée comme une folle."

Dans sa dernière retraite

Et l'âme en défait

La braise rougeoie

d'une âpre chaleur

Le gris dans le coeur

une flamme se meurt

Quant au chevalier

il pleure d'une froide lenteur

Les entrailles ensanglantées

L'épée à la main

Le vent de la fête s'éloigne

C'est son heure

Et si c'était à refaire

je referais mon entrée

parler ne plus me taire

obtenir mais pas espérer

Et si c'était à refaire

je serais ce que je suis

garder les pieds sur terre

ne pas suivre le bonheur qui fuit

Se cacher derrière l'espoir

ne pas se révéler

comment dans le noir

montrer ce que l'on est

Se cacher derrière l'espoir

c'est quand on est laid

courir aux abattoirs

sans jamais être aimé

Quel jeu extraordinaire

de séduire l'être aimé

abattre les critères

un duel pour homme laid

Et bien voilà, tout s'arrête et puis les paysages défilent à toutes allures, mais malgré tout la vie n'apportera pas grand chose de neuf et les jours succéderont au passé qu'il faut oublier.

Un matin blanc à La Valette

avant un pique-nique con promis !

Pour Nicolas mon ami.

Un jour où je t'attendais

lucette tu m'apparais

les petits oiseaux chantaient

et les chiens vomissaient.

Petite fille si câline,

des fois, des fois coquine

Et quand avec ma carabine

je tu t'es tuée dans petite usine.

Malgré les petites joies,

que tu m'a apporté

je me demande encore pourquoi

petit cul, tu nous a quitté.

Sur son petit vélo,

dansant comme un sumo,

tombant parmi les fleurs

Il a fallu que tu meurs.

Et sur ta grosse tombe

géant ma grosse bombe

vite des sucettes sur le mur,

la petite poule est partie en cure.

petit pique-nique douillet

tu m'as assassiné connard,

je t'en voudrais à pleurer

qu'a ma communion t'as chanté comme un canard.

Une petite cigarette ,

se promenait sur la route,

et la petite charrette ,

l'avait vu sans aucun doute.

Jeanine toi qui l'as vu,

Crie haut et fort au monde,

qu'elle n'était pepette,

car au soleil, je ne veux pas qu'elle fonde.

Malheur à celui qui la laisse,

s'éteindre dans le cendrier

ta mort petite cigarette,pitié,

Promis, je te ferais la grand messe.

Au café, on paye pour passer du temps

chez l'épicier on se dépêche pour pas embêter les gens.

Dans une ou deux mi heure on

mangera décroît sang

Trois chaises attablées

accablé niaise comme toi

même si y' un pied de

trop à la chaise

la quite-chair

qui-t-es-chère

Quintechair

Kitecher

Nous sommes le Jeudi 13 août, c'est la nuit qu'a bien commencé, Jean Fou, Carole, Cécile et Eric sont partis Nous allons faire une partie de Scrabble

gratoirs

grattoirs

une pièce

Scène 1: Adam (Seul)

- Le Français Tchécoslovaque Vodka 1/2

Rouge 1/2

+ Bouchon de bouteille (dico) surtout

- Le Bûcheron Whisky

Vodka

+ la cendre de cigarette

Quel est le Premier ?

- Celui qui a inventé l'ouvre boîte ou la boîte de conserve ?

Les nains rouges Bout de reste de viande

dans de la pasta à la sauce grec

Il me pose la question seulement (exemple de graffofonie)

Quand je fume cette cigarette

Je pense à mon grand poète

Quand je pesne à ma cigarette Whisky Rose

je repense à mon poème Vodka Rouge

Gin Cola

Schweppes

C'est un malheur de

Rester

tout seul

avec elle.

Je te suce,

Tu me tue,

tu bois,

Mais je vois.

un inconnu passe,

ton sang trépasse,

un jour tu te lève,

un jour tu crève.

Je préfère les grosses

Quand j'ai pas le gosse

Tu suces

Ou je remplis

le tout ma puce

c'est l'envie.

Facile à courir

(Fou)

Vodka Whisky V.Rosé Coca Cola 4 et pice 4.92

Chips

Cigarette dans la fumée bleue

Jaune Bleu Pain feu poil

Jérome : honnêtement, je sais pas comment ça fait quand tu es bourré. Moi j'ai les joues qui se rafraîchissent

Nicolas : Moi, aussi pour rigoler regarde la bouteille, ça sent la gerbe

Schroumpf Vodka encore Bûcheron plus

Bûcheron mer verre cassoulet jaune

Gerbe rouge sang Alexandrovitch vide

Verbe bleu jaune vert bleu

Viane pied bourre rosé rouge

Cul sec verre à pied

Pied pet pédé Pet des Perdu

Vied trou vagin dedans foutre

Poil saigné sexe pue bouchon

bite foune enculé profond sel

Nicolas Girbal

Je te lègue tout ce que je peux avoir et que j'ai.

Jérome Fraissinet

Testament Origine Vendredi (4 août vers 7 heures)

Et merde Et merde ou t'y es Jérome ou est ta gerbe ?

A_______________________________________________________

Bûcheron qui est

Bûcheron restera

Nicolas allume allume la cigarette avec le stylo bic avec le cliquet plutôt qu'avec le briquet! bourré !

Olive

Eponge

Rosé

Rouge

Sopalin

Vodka

Pain

Ampoule

a b c d état

9 -3 -3 -3 3

-13 12 4 -3

grève

15

7

dictature

32 -3 -11 -18

-18 27 9 -18 15

-28 27 9 -8

30

20

10

Deux pêcheurs dans un bateau de plongé

Deux fadas totalement disjonctés

Comme disent les poissons à la surface

Malheureusement pour eux il n'y a plus de place.

Ils tendent la voile sur le moteur

Et hissent leurs espoirs dans l'univers

Ils n'ont pas encore regardé l'heure

Quel désespoir, Pauvres hères,

Lorsqu'ils verront l'étendu de la mer

D'un coup l'un se jette à l'eau

Et l'autre dans le ciel

Il n'y a plus de bateau

Ni de douceur dans le miel

Une mouche se pose sur son oeil

Tout est-il écrit dans les feuilles ?

Avait-il tout dit le cendrier ?

Ne reste-t-il pas quelque chose à fumer ?

J'ai vu le bois et j'ai la hache

C'est sûr je ne doit pas rester lâche

En "raison" je voit ma nouvelle action

Question. Va t'elle m'apporter satisfaction.

Calvaire, cadavres, pleurs et leurs

guerre, havres, meurs en sueur

homme de joie, sages et savants

Avez vous foi, mages asphyxiants.

Petits êtres de la forêt,

Cachez vous bien,

car le roi qu'on nous a donné,

Ce ne sera pas le tien

Guerriers sanguinaires, temples austères,

combattez naguère, jadis au fond des mers,

Parfois armés, des fois assoiffés,

Jetez feuillets, cultes sans pitié.

Apprend nous toi l'innocent,

ce qu'est la culpabilité,

Délivre nous de notre sang,

Toi qui vit dans l'obscurité.

Zeus mortel des divins,

où es-tu passé, mal armé,

Jette au loin les tiens,

et dans ta main, viens nous aimer.

Dans le fond des abysses vides,

Dans tes gouffres dilettantes,

Rappelle à toi les atlantes,

et clame haut le mot "Atlantide".

Oh mon pauvre petit

où est passé ton pied,

Oh mon pitchoune,

où sont allées tes jambes,

Oh mon garçon

Mais où cache tu tes bras

Oh petit enfant

où est ton kiki

Oh petiot

où as tu mis ton ventre

Oh petit polisson

ton dos, tu ne l'as plus ?

Oh garnement

tes cheveux, ils sont perdus,

Oh petit monstre,

Ta bouche, ton nez montre les moi

Oh môme

tes yeux où les as-tu rangé

Oh Oh Oh

Mais à qui je parles moi !!

Un petit bout,

Un petit nez,

Un petit bout du nez.

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Une chanson,

sans raison,

des paroles,

ma parole.

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la petite Sylvie,

a perdu son kiki,

Et dès demain,

on l'appellera Sylvain.

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Le ver de terre,

gratte toi la tête,

Avec un peu de chance,

Tu iras de l'autre côté.

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Mon petit chien,

Tu n'es pas bien,

Rend moi ta laisse,

Tu la mord sans cesse

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Fraise des bois,

Petit coeur à moi,

Je te mangerai tout cru,

Je te mangerai tout nul

----------------------------------------------

Ô mon ami,

n'est pas de chagrin,

il est midi,

et moi aussi j'ai faim.

Une fois qu'Albert était sorti faire des courses Beurre, légume (haricot, tomate), laitage, petit pois en boîte il riait du matin. Quand il est rentré il n'avait plus de maison seulement quelques raisons d'oublier le grenier qui dans sa jeunesse l'avait bercé, cherchant un vers qui pourrait l'embrasse. Albert ne vis rien se passer.

Ce passé, attend demain,

Tu verras mieux ce que tu tiens dans tes mains.

J'arrête maintenant le train . La mort tu vois ça vient comme tu ouvres la boîte Petit pois à faire chauffer

Il s'assit , il souris, et il dit :

Tu te souviens une pizza un pastis puis bien d'autres, pizza surgelée comme Noluen, Diane et l'autre type. Il faut vomir du sixième étage et quand c'est fait tu la déshabille de la langue. Tu sens le vomi et elle viande pourrie.

Ce passé, attend demain qu'il s'oublie.

Petit paquet bleu, Mais que me veut-il.

d'où viens-tu, Il est fou,

arrose moi de ton origine, il me parle à moi,

chuchote moi tes aventures, le grand qui

laisses moi te toucher, me trimballe.

Moi je t'écoute, Qu'est ce qu'il

alors tu peux bien me parler. peut bien en avoir

Tu sais je n'y vois goutte, à faire de ma vie.

alors s'il te plaît, On a pas gardé

caresse moi de tes paroles. les moutons ensemble.

Tu es timide, il se croit plus fort que

oh petit donne moi, moi et je sais bien

ce que tu contient, que lorsque cigarettes je

Je le mangerait bien. n'aurais plus, il me

Allez va chier, laissera en sursis

toi qui ne veut pas parler. et plus tard me

Ah mais je vois, jettera.

tu es peur du briquet, ordure j'étais

Et bien lève toi, ordure je resterai,

révolte toi. et toi

Tu me sens agressif, grand con

tu te refermes, j'ai mon honneur

mais sans récifs, alors exploite moi,

comment peux-tu mais ne viens pas

t'arrêter. me dire

Aller petit paquet. que tu me connais,

Adieu !! car empaqueté

Toi qui ne veut point tu n'as

pas me parler été.

Allez va jouer

Enculé.

Tu m'as vomi sur le menton

Mais non ce sont des poils

Et sur le front ?

J'ai mal

Et moi ?

Où ça ?

Par là ..... plus bas

Ouvre au moins que je voye

J'ai une histoire avant :

Stoff est un malheureux chevalier

aucune défaite, aucun combat

mille fêtes et aucun repas,

mais une bouteille dans la

poche. Sa marraine le

porte au bars : "Ton papa et

ta maman ont fait une connerie

qui a exactement ton age.

Qu'est-ce?"" Et comme Stoff

n'aime pas les devinettes il

tourne un peu la tête.

Sa marraine ironise encore

d'avantage : " C'est pas grave

pour eux ils ont oubliés leur connerie.." Stoff

ne regarde plus rien.

"Eh rit Stoff" Reprend-elle

Alors je peux rentrer maintenant ?

Le petit garçon au pull rouge Nuit out 92

Jean rencontre Jeanne, elle lui dit que Paul et Marie vont se marier. Alors étonné, il lui demande quand même l'heure qu'il est, elle lui répond qu'il est huit heure et il se séparent.

Il pleut.

Le jardin est baigné de chênes verts.

La ville montre au loin ses lumières.

Dans le loin le vent dans les arbres.

Paul éteint le contact et sort. Marie est là, elle l'attend. Il sort abrité par son imperméable. Doucement, il lui fait la bise puis ils rentrent tous les deux dans leur belle maison. La lourde porte claque. Le feu est fort dans la cheminée et à part l'odeur des oignons, on entend uniquement les cliquetis du feu.

Jean sort et Jeanne le suit.

Le soleil brille et les voitures passent. Au café, les gens parlent du dernier match. Jean arrive et Jeanne est partie.

Paul attise les tisons dans le foyer pendant que Marie au loin lui demande comment s'est passée sa journée. "Bien ,répond-t-il, exécutant machinalement des gestes ancestraux dont il assume plus ou moins pleinement la consistance.

Jeanne rentre chez elle par les rues. Paul va voir Marie préparée, et elle fixant le fond de la casserole où les oignons rissolent écoute son futur mari, en pensant "je suis pas mécontente". Il lui raconte sa journée et elle, elle lui sourit doucement tendrement. Ils s'aiment mais ne sont pas prêts de savoir ce qui les attend.

Jeanne décroche son téléphone, la cuisine frémit.

Jean arrête de boire et va la voir.

Marie décroche : "Allô", "Paul, mon chéri occupe toi de la cuisine".

Il pense alors que sa journée a été assez dure et qu'en plus il faut faire la cuisine, mais malgré tout il s'en fout.

Paul entend loin sa femme dire à Jeanne :"Oh, que c'est gentil; tu sais on a bien réfléchit; la famille ,on leur a pas encore dit; oh tu sais il prend ça très bien; et puis sa mère je crois que ça la contentera...", et lui il tourne sa tambouille.

Jean monte.

Jeanne dit :"Et bien, tant mieux, à propos je l'ai dit à Jean; oui je crois aussi, allez à bientôt et ménage le ton homme. Allez au revoir."

Jean sonne.

Paul va s'asseoir, liure son journal, le silence s'installe désormais à jamais.

Il ouvre la porte et dit : "J'ai fait une bêtise."

"Quoi?!"dit Jeanne? "Je crois que je les ai tués tous les deux."

"Mais, mais qui ça", dit-elle angoissée.

"Et bien, Paul et Marie."

"Ah tu rigoles!"

"Mais non."

3mais je les ai eu au téléphone il y pas longtemps."

"Tu sais Jésus, il a le téléphone..."

Jasmina habillée de sa peau, sa plus belle ce matin rentre le ventre et soulève sa poitrine. Radhjysk , sur la terrasse, planches de bois suspendues dans les arbres oubli ses yeux dans les airs sur la forêt. Un insecte vomi sur sa jambe. Il se gratte. Jasmina se lève, sourit à l'air qui rentre. Il n'y a plus d'ombre. Sur la terrasse elle se met près de Radhjysk et regarde dans une autre direction. C'est peut-être ce qu'ils ont vu ou ce qu'ils ont bu, l'arbre est trop loin pour grimper dedans ou danser autour. Il n'y a même plus le vautour. Un moment Jasmina regarde Radhjysk, elle se mordille la lèvre inférieure, pleure du nez, chie des oreilles et oublie un oeil, l'autre pleur sans y voir. Radhjysk baisse la tête pour voir juste en bas. Et il voit pas. Jasmina s'assoit.

Si tu jettes la bouteille de Vodka

Prend gardes à toi

- Ah____________

- J'ai mal pour toi

- Tu peux car moi aussi j'ai mal

Cache ces vers (amicaux) que je ne saurais voir

Cache ces verres que je ne saurais boire

Ce qui est chiant avec les boutons

C'est que moi je suis obligé de me déboutonner à chaque fois

Un bûcheron perché sur un arbre

Ne ressemble pas au sourire de Lola

Sa maison, dorée de marbre

Ou il a perdu un bras

Un bûcheron percé par le cou

C'est comme un amour doux

Perdu pour tout le monde

Décousu par le monde

Un bûcheron vêtu de cendre

Il n'y a rien de plus tendre

Sauf quand ses bottes brûlent encore

Et dans sa poche un oeil est mort

épreuve : triple saut fléchettes (3 lancers, 3 manches)

Nicolas : (0,0,0) 0 (7,0,0) 7 (1,0,0) 1 (0,7,5) 12

Jérome : (0,0,6) 6 (0,0,0) 0 (6,0,5) 11 (0,5,0) 5

Manche décisive :

Nicolas (4,7,7) Jérome (0,0,4) (0,6,10) Nicolas (3,7,0)

Nicolas 28 Jérome 20

Nicolas Vainqueur : 0-6;7-0;1-11;12-5;28-20

Au cumul : Nicolas 48

Jérome 42

Plus mauvais coup : 0 (Nicolas, Jérome)

Meilleur coup : 10 (Jérome)

meurt meurt petit pêcheur

quand tu nous regarde

De (ta barque) dans l'eau froide

Tu me rend malade de peur

Dernier + 10

10 eme + 5

5e 3 : 3

5e 7 : 7

5e2 : 2

5e5 : 5

Koto : prise entre le pouce et l'index

Muba : index sur le bout de la baguette

Youri : par les deux bouts

Satra : avec une baguette

- so : une main et |0

0|

0|

|0

glissando : faire glisser

Koure : avec deux baguettes

Yoto : prendre 1 Klopp

Katé :

Grougnou : Déstabilisation Ventrale

7 5 3 2

N 5 4 6 8 20 55 73 89 128 k

J 0 1 8 7 M 63 73 kR

Pensée autour des pattes

Pour moi la politesse

C'est le mépris_

Ne compares pas

apporte ton dût

Vin Blanc

Cola

Sac Poubelle

PQ

Cigarette

tel. Corse

Chocolat

81230 LACAUNE